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Voici Paris, capitale au rayonnement mondial, prodigieux témoignage d’une histoire pétrie d’anonymat et de gloire, de drame et de jubilation, de savoir et de rêve.

Étape obligée du parcours de SIUDMAK dont le trait capte, élève et transcende tout ce qu’il traduit.

Paris et son symbole, la tour Eiffel, construite pour être le clou de l’Exposition universelle de 1889 et curieusement inscrite dans la durée sans que l’on sache vraiment à quoi tient son succès planétaire.

Née de la rigueur, de la règle et du compas, mesures du réel s’il en est, elle s’en affranchit en fréquentant le ciel pour courtiser l’imaginaire.

Ce qui était un geste est devenu de l’art.

SIUDMAK s’y installe en complice.

Nul ne s’en étonnera qui connaît le parcours de cet infatigable créateur d’univers que le rêve déleste de toute pesanteur.

Faiseur d’images d’au-delà de l’horizon, dit Jean-Jacques ANNAUD.

Capteur d’arcs-en-ciel, selon Guy BÉART.

Ses peintures s’y inscrivent comme autant de signes en ascension vers le futur, puissamment ancrées, néanmoins, dans un patrimoine culturel qui remonte à la nuit des temps.

Immense exploitation du savoir et du mystère !

SIUDMAK à la tour Eiffel pour marquer l’an 2000 : un lieu où venir apprendre à dévoiler l’avenir.